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Nos coups de gueule
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23 avril 2009

Quand Sarkozy insulte les journalistes...

C’est dans son édition du 25 Mars que le Canard Enchainé faisait cette révélation, il y revient dans son édition du 17 avril .

"Les journalistes sont des nullards, il faut leur cracher à la gueule, il faut leur marcher dessus, les écraser, ce sont des bandits et encore les bandits ont une morale"

C’est ainsi que se serait exprimé "sarkozy" le 18 Mars dernier, selon le Canard Enchainé . Il n’aurait apparemment pas apprécié le traitement médiatique , de la partie privée de son voyage au Mexique .

S’il est vrai qu’une grande partie de la presse se comporte comme une carpette devant "sarkozy", il existe encore des journalistes qui veulent faire correctement leur métier et, cette insulte est à leur encontre .

Habitué à ce qu’on se couche devant lui, comme le font ses courtisans, Zébulon IV ne supporte pas qu’on puisse mettre en doute son "honnêteté .

Ce "dictateur" de la république bananière, qui s’appelle encore France, devient de plus en plus inquiétant, que va t il rester de nos libertés, si nous continuons à le laisser agir ainsi . La liberté de la presse à laquelle semble encore tenir les journalistes honnêtes est en danger .

Peuple lève toi .......

Bella Ciao

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Commentaires
V
C'est exactement ça.
G
Le problème du peuple, c'est qu'il a trop de morale et de scrupules.
V
Tout au long de l'histoire, le peuple n'est jamais l'instigateur des soulèvements ; il en est tout au plus l'une des variables d'ajustement dont "les maîtres du monde" font usage.<br /> <br /> Depuis la nuit des temps, c'est la même histoire.<br /> <br /> Ceux qui ont le pouvoir se repaissent de luxe, de futilités, de mépris et, dans le même temps réduisent à une peau de chagrin les libertés et moyens de survie du peuple, n'hésitant pas à le réduire à l'esclavage sous toutes ses formes. <br /> <br /> Le peuple s'en accommode ... ou s'épuise à conserver la tête hors de l'eau et un peu de dignité . Cela dure ... jusqu'au jour où la bourgeoisie est à son tour touchée. Là .. rien ne va plus. Or, la bourgeoisie ne se salit jamais les mains ... elle qui ne supporte pas de se métisser au petit peuple qui s'affame à la nourrir.<br /> <br /> Alors, la bourgeoisie fomente de tristes scenarii. Divise ; identifie des boucs-émissaires ; contribue à attiser les haines et faire renaître les hostilités d'un autre temps ; sans le dire, elle organise la suffocation du peuple.<br /> <br /> Exsangue, laminé, impuissant, le peuple finit par réclamer justice. Aveuglé, manœuvré, manipulé ... il se trompe souvent d'ennemi, donne, en plus de tout ce qu'il a déjà laissé, sa vie et celle de ses fils ... bien souvent, il est volontaire !<br /> <br /> Cynique, la bourgeoisie laisse faire ; jusqu'au delà de la raison ... puis, feignant une once d'humanité, elle condescend à offrir les miettes qu'elle facturera au prix fort quelques temps plus tard.<br /> <br /> Exténué, le peuple célèbre cette orgie de bienfaits ! Et oublie ; il pardonne ; il rêve à nouveau ... et l'histoire recommence.<br /> <br /> Quelle perspective ...
F
« les bandits ont une morale » <br /> Pour une fois, il sait de quoi il parle !
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