24 septembre 2009
Le pot de terre contre le pot de fer
J'ai honte quand je lis cela :
Les femmes exposées in utero au Distilbène, et atteintes depuis d'un cancer, ne pourront pas poursuivre un laboratoire si elles ne démontrent pas, ordonnance à l'appui, que leur mère prenait ce médicament. C'est ce qu'a décidé ce jeudi la Cour de cassation, dans un arrêt très attendu.
Entre 1950 et 1977 , cette hormone de synthèse fabriquée par les laboratoires Novartis et UCB Pharma a été largement prescrite aux femmes susceptibles de faire une fausse couche.
Dites-moi, vous gardez vos ordonnances combien de temps, vous ? Il semble que 60 ans soit un minimum.
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